une dualité sociale croissante
La dualité sociale est visible et se renforce. Les prix de l'immobilier montent, cafés branchés et magasins chics se nichent au sein de quartiers précaires qui deviennent confrontés à différents défis sociaux.
- Les prévisions démographiques pour Bruxelles envisagent une croissance de population de plus de 15% dans le courant des 10 à 20 prochaines années. Cette croissance se situe pour une très grande partie à l'intérieur des quartiers du « croissant pauvre », donc des quartiers du canal.
- La densité de population y est très forte, l'état de santé et la qualité de vie sont beaucoup plus mauvais que les moyennes régionales et nationales. Il y a donc une urgence pour une plus grande qualité de vie, plus d'espaces ouverts, pour l'amélioration de l'habitat.
- Les quartiers populaires autour du canal sont économiquement précaires. Une population sous-qualifiée, un nombre impressionnant de langues, un fossé entre les structures économiques bruxelloises et les forces disponibles permet d'expliquer partiellement le problème de l'emploi.
- C'est dans ces quartiers également qu'habite une grosse partie de la jeunesse bruxelloise. Malheureusement, ceux-ci apparaissent souvent de manière négative dans les médias. Trop haut chiffres de basse qualification et de chômage, manque de perspectives, d'aspiration,... absence de conviction en son propre potentiel.
- La ville s'urbanise de plus en plus, autour des limites administratives de la région. Ce qui engendre l'abandon de celle-ci par les familles de la classe moyenne. Ceci à un impact important sur l'état financier de la Région.
une dualité sociale croissante
La dualité sociale est visible et se renforce. Les prix de l'immobilier montent, cafés branchés et magasins chics se nichent au sein de quartiers précaires qui deviennent confrontés à différents défis sociaux.
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Les prévisions démographiques pour Bruxelles envisagent une croissance de population de plus de 15% dans le courant des 10 à 20 prochaines années. Cette croissance se situe pour une très grande partie à l'intérieur des quartiers du « croissant pauvre », donc des quartiers du canal.
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La densité de population y est très forte, l'état de santé et la qualité de vie sont beaucoup plus mauvais que les moyennes régionales et nationales. Il y a donc une urgence pour une plus grande qualité de vie, plus d'espaces ouverts, pour l'amélioration de l'habitat.
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Les quartiers populaires autour du canal sont économiquement précaires. Une population sous-qualifiée, un nombre impressionnant de langues, un fossé entre les structures économiques bruxelloises et les forces disponibles permet d'expliquer partiellement le problème de l'emploi.
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C'est dans ces quartiers également qu'habite une grosse partie de la jeunesse bruxelloise. Malheureusement, ceux-ci apparaissent souvent de manière négative dans les médias. Trop haut chiffres de basse qualification et de chômage, manque de perspectives, d'aspiration,... absence de conviction en son propre potentiel.
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La ville s'urbanise de plus en plus, autour des limites administratives de la région. Ce qui engendre l'abandon de celle-ci par les familles de la classe moyenne. Ceci à un impact important sur l'état financier de la Région.
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